La dpjnk accompagne et encourage les plus démunis à développer une très petite entreprise et les aide à s’insérer dans la vie professionnelle.En république démocratique du Congo, la majorité de la population est trop jeune . Les jeunes sont fortement confrontés au chômage et acculés à s’orienter vers le secteur informel ou l’exode, mais aussi la guerre en répétition, L’auto-emploi par la création de très petites entreprises (TPE) ou l’insertion professionnelle sont donc des défis majeurs que la dpjnk contribue à relever. Elle agit aussi dans les camps de déplacés pour favoriser l’insertion économique de familles en situation de grande précarité : personnes réfugiées statutaires,sans domicile fixe, parents isolés, personnes bénéficiaires des minima sociaux et plus particulièrement les jeunes u Reporters.
Pourquoi un appui aux jeunes u Reporters déplacés ?
Dans les zones où la dpjnk agit, l’exode rural, la guerre et l’urbanisation croissante amènent les populations à s’installer en masse dans des zones périurbaines en espérant y trouver de quoi subvenir à leurs besoins et ceux de leur famille. Ces zones périphériques de la ville de goma regorgent de ces personnes très souvent jeunes, peu alphabétisées et rarement propriétaires de moyens de transport. Dans ces zones précaires, où le taux de chômage est plus élevé parmi les femmes, les services sociaux de base sont faibles ou inexistants. La plupart des habitants n’ont que difficilement accès aussi aux initiatives publiques ou privées d’appui à la formation professionnelle et à l’emploi.Les barrières à l’emploi sont le plus souvent les contraintes financières, l’analphabétisme, l’éloignement mais aussi tout simplement la méconnaissance des opportunités existantes. Beaucoup n’ont besoin que d’un accompagnement, pour entrer dans un processus qui les conduira à entreprendre, à travailler.
kasumbo Laguerre cousin